Alexis Robache
Psychothérapie à Paris 14

Alexis Robache, psychothérapie à Paris 14

Alexis Robache
Psychothérapie à Paris 14

Alexis Robache, votre thérapeute en Relation d'aide à Paris 14

Alexis Robache, psychothérapie à Paris 15

Alexis Robache

Thérapeute en Relation d'aide

Après des études d’économie, puis de cinéma (qui m’ont amené à travailler, ponctuellement, dans le montage, ainsi qu’à quitter ma Normandie natale), l’opportunité s’est présentée à moi de devenir libraire, métier auquel je me suis consacré pendant presque 15 ans. L’occasion, évidemment, d’échanges passionnants avec des clients, de faire de belles rencontres. De belles rencontres livresques, aussi...



Il y a eu ce que certaines personnes m’ont préconisé de lire, évidemment, préconisations qui ont eu leur incidence. Mais aussi, au gré des déballages de cartons, des rangements (et de l’auscultation) des rayons, sans même toujours l’avoir bien cherché, souvent par pure flânerie, je me suis également retrouvé à croiser la route de livres dont j’ai appris à aimer les cogitations qu’ils faisaient naître en moi, qui m’ont fait réfléchir à qui fondamentalement j’étais, ce qui me « portait », mon chemin de vie, jusqu’à maintenant.



Parmi ceux-là, me (re)viennent en tête, immédiatement, certains titres de Carl Rogers, Nietzsche, Irvin Yalom, P.P. Pasolini, Alice Miller, Christophe André, Krishnamurti, Carl Jung, Jack Kerouac, Simone Weil, Hermann Hesse. Lesquelles « rencontres », sans que ce soit bien conscient sur l’instant, m’ont amené, petit à petit, à faire ce pas de côté, poussé à prendre du recul sur ce que je voulais réellement, ce dans quoi j’aimais, et aspirais à, investir mon énergie.



Bref, ces lectures m’ont façonné, m'amenant à emprunter, petit à petit, ce chemin de l’individuation cher à Jung. Ça a été un peu le premier étage de la fusée, concernant le sens que je comptais donner aux prochaines années de ma vie ; et comme, parallèlement, je découvrais la « beauté » et le sens qu’il y avait à s’investiguer, à explorer mes difficultés avec une psychothérapeute, après tant d’années à avoir éludé cette nécessaire confrontation à moi-même, je sentais bien se dessiner une voie…





… Je sentais cette nécessité au plus profond de moi de ne plus faire en dilettante, auprès de gens que j’aimais ou que je croisais, ce que je faisais le plus spontanément du monde et qui revêtait tant de sens à mes yeux : aider autrui à cheminer, à se trouver, et « soulager » - tout du moins soutenir - celui-ci face aux vicissitudes/épreuves de la vie. Donner dans l’accompagnement (psycho)thérapeutique, pour dire les choses simplement.

Mais si le « Deviens ce que tu es » nietzschéen est, sur le papier, séduisant et motivant, assumer d’aider quelqu’un à trouver sa voie, évoluer, grandir, se comprendre pour se connaître, et vice versa, a quelque chose du grand saut. Avant d’endosser cette (grande) responsabilité, s’il a encore fallu que je mûrisse, moi et mon projet, c’est aussi parce qu’il s’agissait de trouver l’approche dans laquelle m'inscrire et qui, philosophi-quement, correspondait à mes valeurs, me permettrait de fonctionner au plus proche de qui je suis.



Ca a nécessité du temps, de la réflexion, jusqu’au mitan de la trentaine, avant de trouver la formule qui me permettrait d’accompagner au mieux, en confiance et en compétence, mais la découverte du courant humaniste, de thérapeutes comme Rollo May, Abraham Maslow, mais surtout de Carl Rogers, à l’origine de la Relation d’aide, a été de l’ordre de l’évidence.

La Relation d’aide, très bien, mais… Qu’est-ce que c’est ?

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